On nous martèle le cerveau depuis tout petit que voter est un droit et un devoir. L’argument légitimant le devoir est généralement « Y’a des gens qui sont morts pour ça ! ». Pourtant il en est de même pour le nazisme. Ne renions pas notre histoire pour autant, les anciens qui ont façonné la France ont lutté pour ce qu’ils croyaient juste et dans un monde idéalement montré par le prisme médiatique, voter est en effet un acte de devoir civique à la mémoire des gens qui se sont battus pour nos droits.
Cependant, ceci est la vision idéale, il y en a une autre. Celle qui voit un vol démocratique de manière sournoise et perverse. Ce vol démocratique sera montré sur plusieurs points, dont chacun légitime en partie l’abstention. Aujourd’hui l’abstention est d’ailleurs plutôt évoquée par la machine médiatique comme un menfoutisme généralisé, à mon sens elle est plutôt le thermomètre qui montre l’impression des gens de ne pas être entendue et de vouloir boycotter de manière générale l’idée de voter une personne qui les entubera pendant 5 ans.
La non-reconnaissance du vote blanc :
Pourquoi voter blanc quand on sait que cela n’est pas comptabilisé ? On a peut-être le mérite de ne pas avoir failli à son « devoir » civique, cependant, votre mécontentement ne sera pas entendu, pire, on ne veut pas l’entendre. Pourtant il serait un outil magnifique pour le peuple qui pourrait ainsi se rendre compte d’un mécontentement généralisé qui pourrait le pousser à agir de lui-même pour rétablir ce qu’il estime juste. Mais à l’heure où les sujets abordés sont tous faits pour diviser le peuple par des débats puériles comme la viande hallal, le mariage homosexuel ou ouvrir ou non les magasins le dimanche, un pouvoir fédérateur n’est pas le bienvenue dans un système qui ne tient que par l’impression que les avis du peuple sont non-partagés.
Il est facile ainsi de manipuler l’opinion en déversant des débats mineurs et secondaires, il serait beaucoup plus instructif de faire un débat sur « Est-ce que le peuple doit payer pour les banques ? » par exemple.
Aujourd’hui, le seul attrait cohérent à voter blanc semble de ne pas entrer dans les statistiques abstentionnistes au premier tour, puis de s’abstenir au second pour montrer que l’abstention ne vient pas d’un m’enfoutisme mais bien d’un boycott volontaire. Imaginez un taux d’abstention de 10 % au premier tour et de 80 % au second, aucun média ne pourra dire (bien qu’on sait jamais), qu’en deux semaines les gens ne se préoccupent plus de la politique.
A qui appartiennent les sondages ?
A chaque fois qu’un journaliste présente un candidat, il s’empresse d’ajouter à la fin « accréditer de x % dans les sondages ». Loin d’être sans aucune importance, les sondages permettent d’estimer la popularité d’un candidat et de légitimer la présence médiatique des candidats par le principe d’équité. Ainsi un mec qui fait 5 % dans les sondages aura en théorie 5 % du temps de parole pour ce qui est des mois avant le mois précédent l’élection (où là c’est un temps de parole égale qui est attribué aux candidats pour ce dernier mois).
Les sondages sont complètement non-démocratiques puisqu’ils influencent clairement les votes, on le dénonce par le simple terme de « vote utile » qui fait qu’on vote utile seulement si on vote pour les « gros » candidats. C’est à se demander pourquoi on fait un premier tour !
Ainsi on peut se demander à qui appartiennent les sondages ?
Le sondage CSA appartient en fait au groupe de Vincent Bolloré. Vincent Bolloré détenait déjà 40 % du capital de l’institut de sondage CSA quand Sarkozy fut élu. Au lendemain de l’investiture de Sarkozy, Vincent Bolloré lui laissa pendant quelques temps son yacht le Paloma (cliquez-ici), un peu comme si les deux avaient réussi leur coup. Bien sûr, les médias à l’époque se sont bien gardés de mentionner le rôle qu’a pu jouer Bolloré dans la campagne de Sarkozy en gonflant potentiellement les chiffres de l’ancien candidat.
Bien sûr, il n’y a pas que le CSA, et si on parlait des autres ?
L’IFOP, probablement le plus important des instituts concernant la France est, entre autres, aux mains de Laurence Parisot (actionnaire fondatrice), actuelle présidente du MEDEF. Laurence Parisot qui affiche son soutien envers Nicolas Sarkozy vantant « son travail extraordinaire pour les entreprises », cette dernière ne se déplait pas non plus de François Hollande dont son institut le donne en tête des sondages (Cliquez-ici). Parisot qui a soutenu Sarkozy lors des réformes des retraites a été une alliée précieuse, qui probablement l’a été également lors de la campagne de 2007. N’oublions d’ailleurs pas que Guillaume Sarkozy, le frère de Sarkozy, fut vice-président du Medef (c’était sûrement trop voyant pour qu’il soit président haha).
Une affaire avait éclaté entre l’institut de sondage Opinion Way et Publifact dirigé par Patrick Buisson, conseillé de Sarkozy. Ce dernier aurait en effet payé Opinion Way, via l’argent du contribuable, pour des enquêtes de sondage qu’on trouvait déjà dans la presse et qui était donc gratuite théoriquement pour l’Elysée. Ceci témoigne donc d’un cadeau offert par un conseiller de Sarkozy à l’institut Opinion Way.
L’Ipsos était possédé en majeur partie par François Pinault au temps de Jacques Chirac, dont les deux hommes étaient proches (y’a qu’à regarder le nombre de photos éxistantes montrant les deux hommes ensembles).
Jacques Chirac et François Pinault
Il doit d’ailleurs être un proche de Sarkozy pour avoir reçu la légion d’honneur en décembre 2011 et même élevé à la « dignité de grand officier » …
D’ailleurs c’est marrant puisque le fils de François Pinault, François-Henry Pinault est lui aussi décoré de la légion d’honneur par Sarkozy. Ce dernier est marié à Salma Hayek (une actrice mexicaine) qui a bien sûr été décorée, elle aussi, de la légion d’honneur par Sarkozy après le mariage. Bref, on ressent ici la collusion du fric et de la politique (François Pinault est un milliardaire, 59ème fortune du monde, 5ème de France !). Pourtant la légion d'honneur se nomme entièrement "Ordre national de la légion d'honneur", j'savais pas que les mexcaines étaient considérées comme faisant partie de la nation désormais ...
Bref, je m’égare un peu sur les sondages. Il y a d’autres choses à dire sur l’Ipsos : Nicolas Bazire, conseillé très proche de Sarkozy (témoin de mariage de Sarkozy et de Carla Bruni et lui aussi décoré de la légion d’honneur), est membre du conseil d’administration d’Ipsos !
Le fameux diner au Fouquet’s est d’ailleurs assez révélateur puisque Pierre Giacometti, directeur général d’Ipsos France à l’époque était présent (lui aussi fait chevalier de la légion d'honneur par Sarkozy en 2008 haha, j’comprends que certains la refusent après la ribambelle d’enflures qui l’obtiennent).
Mais le PS n’est pas en reste puisque Benoit Hamon était également directeur du planning de l’Ipsos.
Où se situe la barrière logique et démocratique entre les politiques (du moins des plus puissants d’entre-eux) et le pouvoir des sondages ?
Notons aussi que Nicolas Bazire dont on vient de parler travaillait (travaille ?) à la Banque Rothschild dont l’évocation provoque probablement un sourire jaune de votre part si vous êtes lecteur du blog.
BVA, un autre institut de sondage, a pour actionnaire le fond Edmond de Rothschild Investment Partners (cliquez ici) ! Et je n’ai pas trouvé de sources fiables mais il semblerait que BVA ait aussi Bolloré pour actionnaire (si quelqu’un trouve une source merci de me le faire parvenir).
Le rôle du Front National :
Les sondages ont pour seul intérêt de faire croire en une démocratie sereine dans le choix des leaders politiques du pays, dont les chiffres sortent en théorie de la volonté du peuple. Il n’en est rien, la majorité des gens qui votent un candidat le font pour en empêcher un autre de passer. Le fait de faire mousser un petit parti, mais pas trop, peut jouer le rôle de régulateur. C’est le rôle du Front National qui suscite la peur de l’ultra-répression et du fascisme pour certain, la colère populaire voit un moyen de s’exprimer en voyant le Front National incarnant une entité capable de passer le premier tour. Mais la radicalité des propos entraîne un clivage d’opinion, ce qui se traduit par un score au deuxième tour, identique au premier pour le FN.
Ainsi le Front National a servi à l’UMP et le PS à canaliser une révolte populaire de plus en plus croissante. Le parti représente un faux danger pour les deux partis puisque face à l’UMP ou le PS, le FN n’a aucune chance de gagner le deuxième tour. Le FN a donc fait en sorte de prendre des voix aux partis qui auraient pu écraser l’UMP et le PS au second tour. N'oublions pas que c'est un socialiste, Mitterand, qui a permis la présence de Jean Marie Lepen à la télévision pour diviser la droite à l'époque.
Le FN a d’ailleurs servi d’exemple à ne pas suivre. Ainsi, dans un gouvernement politique qui veut s’ouvrir à l’Europe (à l’encontre du peuple), le FN qui représente le fascisme dans l’inconscient populaire a brandi l’étendard du nationalisme. On associe désormais nationalisme et fascisme, ce qui empêche inconsciemment la population de se tourner vers la notion de patrie et de favoriser son ouverture à l’Europe. C’est pourquoi d’ailleurs un nationaliste comme Dupont-Aignan est parfois traité de fasciste.
Le 21 avril 2002, le fait que le FN ait passé le premier tour a suscité un électrochoc aux yeux de la population, le tout soutenu par une caste médiatique feintant l’affolement. Les instituts de sondage prennent donc les chiffres qui leur convient pour instaurer qui sont les grands et les petits candidats. Cela a une importance médiatique puisque sous prétexte de ces chiffres, les candidats auront un temps de parole accordé plus ou moins grand en fonction du score fictif et manipulable qu’ils font.
Ainsi on a pu constater 5 heures avant un meeting de François Hollande, l’installation de la salle, des caméras, des gens etc … Le même jour, Dupont-Aignan et Marine Le Pen faisaient eux aussi un meeting, silence radio …
Les Vices des deux candidats promus « grands » :
« Mon ennemi est le monde de la Finance » déclara Monsieur Hollande. Très bien, merci pour le populisme, mais va falloir nettoyer autour de toi. En effet, monsieur Hollande est entouré de multiples conseillers en rapport avec le monde de la Finance et de l’industrie. L’article de Geoffroy Geuens est très instructif là-dessus, nous allons en tirer les infos importantes (et vérifiables en deux clics sur le net, je ne mettrais pas de liens), voilà la team de flamby :
Pierre Moscovici (directeur de campagne)
Ex-ministre en charge des Affaires européennes dans le gouvernement de Lionel Jospin, Pierre Moscovici est vice-président du Cercle de l’Industrie. Ce lobby, représentant les intérêts des trusts français à l’échelle européenne, a été créé en 1993 par Raymond Lévy, alors président de Renault, et Dominique Strauss-Kahn, qui venait tout juste de quitter le ministère de l’Industrie et du Commerce extérieur.
[...]
Michel Sapin (responsable du projet présidentiel)
Ancien ministre délégué à la Justice (1991-92), ministre de l’Économie et des Finances (1992-93), et ministre de la Fonction publique et de la Réforme de l’État (2000-02), Michel Sapin pourra, en cas de victoire à la Présidentielle, s’appuyer sur ses ex-conseillers :
- Thierry Aulagnon (directeur de cabinet à Bercy), est membre du comité de direction de la Société générale ;
- Eric Lombard (conseiller technique à Bercy), est président de BNP Paribas Cardif et du Groupement français des Bancassureurs ;
- quant à Godefroy Beauvallet (conseiller e-Government au ministère de la Fonction publique), il dirige actuellement le Fonds Axa pour la Recherche.
Les conseillers économiques de François Hollande :
- Elie Cohen
Directeur de recherche au CNRS et à Sciences Po, membre du Conseil d’analyse économique auprès du Premier Ministre, administrateur des firmes EDF Energies Nouvelles, Steria et PagesJaunes, ex-administrateur d’Orange et Vigeo.
- Jean-Hervé Lorenzi
Professeur à l’Université Paris-Dauphine, président du Cercle des économistes, membre du Conseil d’analyse économique auprès du Premier Ministre, ex-conseiller du président du groupe Havas et du Premier ministre socialiste Edith Cresson, actuel administrateur de BNP Paribas Assurances, de la Cie financière Edmond de Rothschild, et membre du conseil d’orientation de l’Institut Montaigne, think tank créé par Claude Bébéar (Axa).
- Jean-Paul Fitoussi
Président de l’Observatoire français de la conjoncture économique (OFCE), membre du Conseil d’analyse économique auprès du Premier ministre, ex-coordonnateur de la « Commission sur la performance économique et le progrès social » – lancée à l’initiative du Président Sarkozy – et président de la sous-commission de la « Commission des Nations-Unies sur la Réforme du système monétaire et financier international », ce chroniqueur du Monde et de La Republicca est aussi administrateur du trust financier italien Sanpaolo IMI, de Telecom Italia et de Banca Sella Holding.
- Emmanuel Macron
Ancien membre de la « Commission Attali pour la libération de la croissance » – installée par le Président Sarkozy – et actuel associé-gérant chez Rothschild & Cie Banque.
- Stéphane Boujnah
Ex-membre de la « Commission Attali pour la libération de la croissance » et conseiller de Dominique Strauss-Kahn à Bercy, il est aujourd’hui le patron de la branche française du groupe financier espagnol Santander.
Son ennemi le monde de la finance ??
Si réellement c’est le cas, cela reviendrait à éteindre le feu avec une équipe de pyromanes …
D’autant plus qu’une semaine après avoir dit ça, François Hollande a rassuré la City de Londres comme en témoigne un article du Guardian. Voici ce qu’il a réussi à dire, sans éviction de la part de nos médias qui se rendent ainsi complice de la supercherie :
« Les années 80, c’était une autre époque. Les gens disaient que les chars soviétiques arriveraient Place de la Concorde. Cette époque est révolue, elle appartient à l’Histoire. C’est normal qu’il y ait eu des peurs. La droite était au pouvoir depuis 23 ans, nous étions en pleine guerre froide et François Mitterrand avait nommé des ministres communistes. Aujourd’hui il n’y a plus de communistes en France. La gauche a été au pouvoir pendant 15 ans, au cours desquels nous avons libéralisé l’économie et ouvert les marchés à la finance et aux privatisations. Il n’y a rien à craindre. »
Hollande semble être parti pour faire une véritable carrière de traître à la Nation. Sarkozy a l’avantage d’avoir déjà fait carrière dans ce domaine. On remarque les liens du PS avec la banque Rothschild qui sont aussi présents du côté de l’UMP comme on a pu le voir précédemment.
Dans ce blog, vous aurez pu prendre conscience de l’importance de l’or, au niveau stratégique d’un pays, mais aussi au niveau du patrimoine historique concernant l’or de France. De gaulle a d’ailleurs bataillé pour récupérer l’or de France des mains des américains qui l’avaient gardé au chaud durant la guerre. Avant même d’être Président, Nicolas Sarkozy a vendu jusqu’à 600 tonnes d’or de la Banque de France en 2004 en tant que ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, alors que le cours de l’or était au plus bas. On ne connait bien sûr pas les heureux propriétaires, sûrement des copains, peut-être ont-ils la légion d’honneur ?
Ce traître à la nation a réitéré son statut d’enflure en oubliant délibérément l’avis du peuple concernant le traité de Rome II, qui l’a refusé. Sarkozy a donc totalement oublié qui l’a élu en court-circuitant l’avis du peuple et faisant passer le traité de Lisbonne (Traité de Rome II modifié) par voie parlementaire. On notera que comme les députés UMP, les députés PS ont approuvé la traîtrise faite directement au peuple français en votant majoritairement oui à ce nouveau traité. Comment l’UMP, comme le PS, peut avoir un grain de légitimité dans ce paysage politique, violant sans regret l’avis du peuple ?!
Et les médias, que font-ils ?
Cette impression de légitimité tient de par le simple fait que les médias ne nous disent rien. C’est bien beau de faire des caricatures et de traiter l’homme politique comme une sous-merde, mais ce n’est qu’une façade pour donner un semblant démocratique et une impression de contre-pouvoir. En vérité la caste médiatique ne nous dit rien quand il s’agit de dénoncer franchement.
Et pour cause, les médias sont tenus eux aussi par ceux à qui profite ce système clairement totalitariste au niveau intellectuel. J’ai déjà énoncé sur ce blog que Le Figaro appartient à Serge Dassault, un trafiquant d’arme (fait légion d’honneur par Chirac). Que Libération appartient au Rothschild. Le Point appartient à Pinault, proche de Sarkozy comme on l’a évoqué pour l’Ipsos. Le Nouvel Obs appartient à Claude Pedriel, dont ce dernier est membre du conseil de surveillance du journal Le monde dont le directeur de ce conseil est Alain Minc, très proche de Sarkozy (promu commandeur de la Légion d’honneur en 2008 par Sarkozy). Le pire dans tout ça c’est qu’on en sait qu’une infime partie, et que cette partie suffit à gerber. (Les informations données dans ce paragraphe sont disponibles par deux simples clics sur Wikipedia)
Mais les gens ne lisent plus beaucoup la presse. Parlons des chaînes TV.
TF1, dont le président directeur général est Nonce Paolini (chevalier de la Légion d’honneur par Sarkozy), dont le conseil d’administration comporte comme membre Laurence Danon, présidente du directoire chez Edmond Rothschild et dont la banque américaine JP Morgan détient 10 % de part de marché ! L’actionnaire principal reste Bouygues dont Sarkozy a eu l’occasion de défendre en tant qu’avocat. Martin Bouygues fut aussi témoin de mariage de Sarkozy et ce dernier lui attribue également la légion d’honneur.
Voilà la démonstration en image pour ceux qui douteraient encore :
N’oublions pas que Sarkozy a aussi choisi le président de France télévision, Rémy Pfimlin.
Le bref journal d'M6 suffit d'ailleurs à comprendre comment l'info est traitée en faveur de la chaîne puisque cette dernière évoque les nouveautés en rapport avec elle-même comme des événements, tel que "Machin élu top chef de l'année 2012" ou la promotion de "talents" ayant gagné la Nouvelle Star par exemple. L'objectivité altérée crève les yeux, qu'en est-t-il quand il s'agit de critiquer le système actuel, qui rend bénéficiaire cette caste médiatique, et d'occulter la vérité ?
Bref, la démocratie est clairement une arnaque dans cette élection et je n’aurai pas l’impression de trahir les anciens si je n’allais pas voter cette année. Pour récapituler, nous avons à faire à une collusion médiatique créditant des sondages corrompus destinés à nous proposer deux choix (qui ne sont en fait qu’un seul choix, celui de continuer à s’emprisonner dans le système), utilisant en plus la peur du FN et le concept de vote utile pour cimenter cette façon de penser.
Les arguments ne manquent donc pas pour descendre Sarkozy, tout comme pour Hollande, mais les deux, créditer par les médias (et les sondages) ne font que jouer les adversaires avec des arguments de cour d’école.
Pour finir, un petit bonus pour ceux qui ont pu m’envoyer des mails disant que la franc maçonnerie n’avait pas de véritable pouvoir, un certain nombre de candidats ont pourtant pris la peine de confirmer leur soutient, je vous laisse admirer :
Hollande chez les Franc-maçons :
Bayrou chez lesFrancs-Maçons :
Mélenchon chez les Francs-Maçons (qui a d'ailleurs confirmé en être) :
Joly chez les Francs-Maçons :
Dupont-Aignan chez les Francs-maçons :
Citoyens, faites votre choix !