"Un système de gouvernement de l'économie et de la finance internationale" / "Une Banque centrale mondiale" / "Une autorité Publique universelle"
Non ces mots ne viennent pas de Jacques Attali, ils viennent tout droit du Vatican qui propose ce genre d'infrastructures pour lutter contre la crise actuelle (Sources : link et link). Dans l'apocalypse de Saint Jean, il serait logique de penser que la grande prostituée est le Vatican (Lire 777 de Pierre Jovanovic), elle qui représente "des peuples, des foules, des nations et des langues." comme est décrite la grande prostituée dans l'apocalypse de Saint Jean.
Le Vatican est clairement une institution promotionnelle de cet esprit mondialiste, surtout de part ces actes. On ne voit pas très bien à quoi les actes se rapportent si ce n'est inciter à encore plus de mondialisme. Le Vatican est un outil permettant d'insuffler au peuple ce sentiment mondialiste. En 2007, Benoit XVI pronait d'ailleurs le "Nouvel Ordre Mondial", des mots qui reviennent courament de la part de grands personnages, mais il suffit d'aborder le sujet pour qu'on vous traite de conspirationniste, le mot qui vous met hors compétition de toutes discussions sur la base du vide; oui je suis conspirationniste et puis ?
Ces dernières semaines montrent des signes visibles d'un processus mondialiste, et en feuilletant un peu ce blog et autres bouquins/articles/vidéos, il est aisé de voir que les mots qui se cachent dérrière "Nouvel Ordre Mondial" est une gouvernance globale dont le grand pas qui pointe le bout de son nez est un pont transatlantique (le pont qui est d'ailleurs un symbole sur tous vos billets en euro lié à l'Europe en direction de L'amérique du Nord), au sens métaphorique du terme, dont notre probable futur président (François Hollande) en sait quelque chose puisqu'il fait partie des Young Leaders dont la liste officielle se trouve ici : link et dont "le but est de donner un nouveau souffle aux relations transatlantiques".
Un pont qui reliera par le biais d'institutions et d'une probable constitution commune, les Etats-Unis (avec probablement le Mexique et le Canada) et l'Europe actuelle. On pourrait d'ailleurs voir des pays du continents Africains et du Proche Orient profitants de l'ouverture pour s'incruster (Israël en tête de liste bien sûr).
Une crise mondiale est l'un des meilleurs moyens pour imposer une gouvernance globale profitant du sentiment nouveau et universel de la situation, ainsi qu'un problème majeur commun à tous (Tel Aviv connait d'ailleurs de fortes manifestations également).
La future guerre civile qui va suivre de ce chaos économique sera elle aussi mondiale, dont les plus fortes affluences seront sûrement dans les pays concernés par cette gouvernance globale (Europe et Amérique du Nord).
Cette révolte mondiale montre déjà ses prémices, les manifestations sont de plus en plus courantes et la pression est telle que même les dirigeants commence à devoir démissionner (Papandréou, Berlusconi ... who's next ?).
Des manifestations de grandes envergures à l'échelle européenne vont sûrement voir le jour dans les semaines à venir.
Ne croyez pas que l'économie a des frontières, les dettes sont interconnectées entre elles par le biais des assurances et des banques de toutes nations qui ont prêtées également à toutes nations. Sans compter les chiffres de la croissance, en 2004, les Etats-Unis ont fait 100,8 milliards de $ de profits en Europe et L'Europe en a fait 65,7 milliards aux Etats-Unis (ces chiffres se sont sûrement avérés en hausse depuis).
L'Euro n'est pas viable, et d'ailleurs, même Attali le dit :
Attali étant l'un des plus fervents des mondialistes.
Si des gens avec une influence politique intense avait décidé de planifier un gouvernement mondial, ils ne s'y seraient pas pris autrement.
D'ailleurs elle fait quoi la politique européenne en c'moment ? Elle se tripotte ?
Et non, pendant que tout le monde se braque sur les différents sommets du summum de la quenelle, voilà ce qui a été adopté à Strasbourg le 25 octobre dernier : link !
Le texte insistent grandement sur l'encouragement d'une autorité financière et d'une gouvernance économique mondiale plus prenante comme le stipule ces passages :
Le Parlement Européen :
17. se félicite de toutes les initiatives visant à poursuivre la discussion et la coopération sur les défis planétaires communs, mais constate que les forums actuels, tel le G 20, permettent seulement des débats informels, sans base juridique et sans les attributs d'organisations internationales dans leurs procédures décisionnelles ainsi que dans la mise en œuvre et le contrôle de leurs décisions, et resteront comme telles des structures de gouvernance sans véritable poids;
18. estime que le régime du consensus qui caractérise les procédures décisionnelles de nombreux organes de coopération planétaires n'incite pas à prendre des décisions audacieuses et aboutit souvent à de vagues engagements non contraignants; prie instamment le forum mondial d'abandonner, à l'instar de l'Union européenne, l'application exclusive du principe de l'unanimité;
19. estime qu'il y a lieu de concrétiser davantage les engagements pris dans le cadre du G 20 et que les progrès accomplis doivent être examinés par un organe indépendant, plus officiel et plus largement ouvert comportant des statuts et un secrétariat, comme le FMI;
[...]
27. note que ces institutions et forums, et plus particulièrement le G 20, sont dépourvus d'une certaine légitimité parlementaire au niveau mondial et demande donc que les parlements soient associés à leurs procédures décisionnelles; déplore les lacunes démocratiques de certains partenaires;
28. note les difficultés qui pourraient découler d'un manque de cohérence des politiques adoptées par les différents forums informels et institutions économiques et financières internationales; estime que des mesures en faveur d'une coordination institutionnelle mondiale devraient être prises par le canal du FMI;"
Dois-je réellement expliciter ?
Ce ne sont que quelques lignes, les autres sont bourrées de cette ligne directrice qui est une gouvernance économique et politique mondiale !
Bref, la gouvernance globale économique est de plus en plus concrète, et ceux qui l'avait annoncé il y a quelques années et qu'on a pris pour des illuminés peuvent légitimement renvoyer le baton à l'envoyeur. Mais ces gens se sont souvent exposé à l'humiliation pour le bien du peuple, voilà pourquoi personne ne fanfaronnera.
Reste à savoir, est-ce que le monde sera sous l'emprise d'une monnaie commune ?
L'éclatement de l'euro est certain, n'est-ce pas une entrave à ce mondialisme ?
Pas réellement, en réalité c'est la monnaie papier qui vit ses dernières heures, l'or quant à elle, prend chaque jour un regain de légitimité. En effet, les fonds d'or des pays prennent une importance capitale, on prendra pour exemple Chavez qui veut rapatrié (le rapatriement commençant mi-novembre) son or dans son pays : link.
Il y a cependant un autre signe majeur de l'importance de l'or mais qui n'a que des échos mineurs dans notre belle presse française pronant la liberté d'expression par de stupides polémiques lancés par le biais d'un Charlie Hebdo faisant preuve de débilité profonde (je m'arrêterais là).
En effet, Cameron, Sarkozy et Obama ont demandé à Merkel de mettre les réserves d'or de la Bundesbank en garantie pour le FESF (vous savez, ce fameux fonds de stabilité qui relie implicitement les dettes européennes, formant une dette européenne). Je mets plusieurs sources avant qu'on me traîte de pipoteur : link ou ici : link ou encore là pour les germanophones : link et les français exclusifs : link.
L'or va clairement être déterminante, et il se pourrait bien qu'on retrouve un économie basée sur le standard or, seul système déjà établi auparavant qui montra sa viabilité de manière concrète. Vos billets ne serviront qu'à vous torcher le cul et à vous rappeller qu'on vous a enculer en vous offrant du torche-cul en échange d'un temps où vous vous cassiez le cul à travailler pour ça ... Une chose est sûre, ce modèle économique est game over.
Une monnaie commune, je ne sais pas, mais une base commune (l'or) est clairement une voie probable.
La période de transition entre ces deux modèles économiques sera sanglante, et pourtant, De Gaulle lui-même avait prédit ce risque avec 45 ans d'avance :
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