Avec un titre pareil, la plupart d'entre vous se diront peut-être que je touche un sujet sensible. La preuve est donc faite que votre inconscient vous dicte une certaine retenue à avoir à l'égard du sujet. Le fait que le sujet soit sensible en lui-même m'attire forcément, pourquoi celui-ci est sensible ? Qu'est-ce qui induit la prudence de notre inconscient ?
Bien sûr, il est facile de répondre que c'est dû à la seconde guerre mondiale, et c'est d'ailleurs sûrement vrai. Cependant, on peut se demander qu'est-ce qui a promulgué cette haine vissérale envers les juifs à cette époque, je ne dis pas que celle-ci est justifiée, mais elle a sûrement dû prendre ses sources quelque part. Je ferai dans cet article la distinction entre le judaïsme et le sionisme, le sionisme n'étant qu'un courant idéologique issue du judaïsme.
Il faut dire qu'il y a quelques centaines d'années, les juifs étaient mis à l'écart d'une Europe dont la chrétienté était incrustée dans la culture populaire et dont le pape avait l'influence requis pour tenir tête aux différents rois sur le plan moral et même militaire (même si dans beaucoup de cas, les rois étaient alliées aux papes pour obtenir légitimité auprès du peuple). Mais les chrétiens avaient une interdiction, celle de faire fructifier l'argent par l'argent (l'usure). Le rôle de banquiers ne leur étaient donc pas voué. Les juifs d'europe, dans une posture souvent misérables, ont donc naturellement profité de l'ouverture du secteur banquaire (puisque non chrétien). C'est comme ça que commença la célèbre ascension de la famille Rothschild.
Les juifs se sont donc immiscés très facilement dans le monde de la finance, un monde à la base de tout notre système actuel, mais cela était aussi vrai il y a un siècle.
L'origine de la seconde guerre mondiale, comme d'ailleurs de la première, se fait dans un contexte économique très difficile. L'Allemagne perdante de la première guerre mondiale se nomme à la suite de cette guerre, la république de Weimar. Le traîté de Versailles met dans l'obligation cette Allemagne de rembourser un montant colossal aux pays qu'elle a endommagé, en 1921 (le traité fut signé avant mais les sanctions économiques ne sont tombées qu'en 1921). Mais cette Allemagne est aussi sujette aux clivages, en effet, la première guerre mondiale n'était pas unanime au sein même de l'Allemagne, certaines régions étaient contre cette guerre. Devoir réparer les dommages qu'ils n'ont, à la base, pas voulu commettre créa donc un sentiment d'injustice légitime.
Pendant la crise de 1929, la grande dépression, l'Allemagne dû supporté un fardeau toujours plus pesant, les tensions toujours plus fortes et en 1931, un point cruciale est à noter, souvent omis de nos livres d'histoire : la banqueroute du Creditanstalt, une grande banque autrichienne appartenant à la famille Rothschild !
Une catastrophe qui fut limitée par la fusion de cette banque avec la banque nationale d'autriche qui fut rebaptisée : Creditanstalt-Bankverein.
Cette banqueroute entraînera des conséquences économiques dont l'Allemagne en ressentira les effets directs, un premier regain d'antisémitisme se fait sentir puisque le président de la banque était juif, comme la famille à laquelle cette banque appartenait. Comme aujourd'hui, les banquiers étaient loin d'être bien vu dans un contexte économique si pesant et de surcroît, les juifs étaient eux aussi mal vues puisqu'ils étaient souvent banquiers comme on aurait pu s'y attendre au vu de l'histoire.
En 1933, Hitler arrive au pouvoir, en 1938, l'Autriche est annexée à l'Allemagne, pourtant interdit par le traîté de Versailles (peu de réactions se sont fait sentir du côté des ex-alliés), l'Allemagne cherche à se redresser seule puisque celle-ci ne peut compter sur ses voisins qui sont dans la même posture et qui attendent toujours de l'Allemagne, le remboursement des dettes de la première guerre. La seule protection possible du côté du peuple Allemand face à ce contexte politique et économique est le nationalisme, d'où le succés d'Hitler. La morale en berne d'une population, tiraillée entre l'injustice et l'impuissance ne demande qu'un guide pour entrevoir le bout du tunnel, Hitler fut cet homme, "Führer" signifiant d'ailleurs "guide".
Les clés du pouvoir entre les mains du dictateur, celui-ci put guidé sa population dans une célèbre propagande antisémite dont les points d'accroches ne manquaient pas pour décharger une certaine responsabilité de cette situation financière aux juifs. Après l'annexion de l'Autriche, les nazis ont d'ailleurs balancé à l'extérieure d'une voiture en mouvement le directeur juif de la fameuse banque autrichienne, il survécut.
Je trouve que ce point était primordial à retranscrire, étant donné l'importance (hypocrite) que prend le devoir de mémoire quand il s'agit de juifs à notre époque actuelle, il est également important de comprendre l'histoire et de ne pas la subir comme une multitude de faits qui n'ont parfois aucune cohérence dans notre tête. Les hommes d'autrefois (notament les allemands) n'étaient pas plus idiots ou plus sujets à être antisémites qu'aujourd'hui. La fameuse Shoah qui tuera 6 millions de juifs est encore présent dans nos pensées, c'est d'ailleurs la première chose que pense la plupart d'entre nous quand on dit le mot "Hitler" ou "Deuxième guerre mondiale". Et pour cause, cette Shoah est bien utile pour nos élites actuelles, il est presque primordiale de nous rabâcher à longueur de temps la souffrance que les juifs ont subit, comme vous allez vite le comprendre par le biais de cet article.
La suite de cet article va être une énumération de faits qui prouvent sans l'ombre d'un doute, à mes yeux, qu'une éllite juive (le sionisme) est influente à l'échelle mondiale.
Comme on l'a vu, la seconde guerre mondiale est dû à un premier domino qui est la banqueroute de la Creditanstalt, appartenant à la famille Rothschild. Si on fait un raccourci, bien que potentiellement simpliste, on peut s'apercevoir que les grands gagnant de la deuxième guerre mondiale sont les mêmes : la famille Rothschild.
En effet, Mayer Amschel Rothschild, fondateur de la dynastie Rothschild eu des enfants dans les années 1800. Ces enfants migrèrent dans différentes villes européennes pour y former des institutions financières, toujours sous la tutelle de la dynastie Rothschild. Pour être plus précis, les enfants formèrent des branches en France, en Angleterre, en Italie, en Allemagne et en Autriche comme on l'a vu.
Mayer Amschel Rothschild
Ces différentes branches, plus ou moins remaniées jusqu'à la seconde guerre mondiale éxistaient toujours à l'époque (et éxistent toujours, les Rothschilds sont bien souvent implantés dérrière des industries, notament dans le domaine de la presse comme pour le jounal Libération, certaines sources affirment qu'ils ont voulu se faire discret avec le temps). Pour faire court, les banques des différentes branches prélevaient des intérêts sur les prêts d'Etats des différents pays lors des guerres.
On parle ici de la première et deuxième guerre mondiale mais saussi lors des guerres Napoléoniennes qui ont d'ailleurs lancé les Rothschilds. En effet, pendant la guerre opposant la France à l'Angleterre, les filiales françaises et anglaises de la banque Rothschild ont financé les deux guerres (prenant donc des intérêts dans les deux camps), mais le coup de génie fut de faire courir le bruit que l'Angleterre perdait face aux français, les actifs d'Angleterre ont donc perdue une valeure phénoménale que les Rothschilds ont pu acheter à bas prix. Au final, l'Angleterre gagna la guerre et les Rothschilds étaient les plus gros possesseurs d'Angleterre.
Les investissements français pour les différentes guerres rapportaient de l'argent aux mêmes personnes qui investissaient aussi dans les camps opposés, en Allemagne ou en Italie (bien que potentiellement freinés par certaines décisions politiques antisémites) ! Les Rothschilds étaient gagnant dans n'importe quel camps, et ce sont loin d'être les seuls à avoir profiter de la guerre.
La guerre a d'ailleurs toujours su relancer l'économie par le biais d'une technologie grandissante et donc d'un commerce plus fructifiant que précédement. Nos 30 glorieuses sont sûrement dû à cette guerre.
Bien sûr, les Rothschilds ne sont pas "les juifs", mais ils sont une famille juive représentant le pouvoir de la finance, dont l'accés fut favorisé pour les juifs, ils représentent ainsi une anecdote révélatrice du pouvoir de la finance et donc forcément de certains juifs par conséquent.
Toute communauté a, en théorie, des intérêts communs, et les juifs ne sont sûrement pas l'exception qui confirment la règle. L'argent est la carotte qui fait avancer le monde comme un âne, celui qui possède la carotte décide logiquement de la destination de l'âne.
Est-ce que ce pouvoir financier est assez corruptible et est-ce que la main mise des juifs sur le pouvoir financier est assez important pour que ces derniers fassent fructifier de possibles intérêts communs ?
Je ne répondrais ni par oui, ni par non, je vous montrerai les faits.
Après la seconde guerre mondiale, la création de l'Etat d'Israël fut proclamé par l'intermédiaire du plan de partage de la Palestine voté par l'ONU, s'inscrivant dans la continuité de la Déclaration Balfour en 1917.
Il est assez ironique de savoir que cette Déclaration Balfour, comme nous apprend Wikipedia, est en fait une lettre à Lionel Walter Rothschild du ministre des affaires étrangères britanniques, appuyé par Chaim Weizmann, alors président de la Fédération Sioniste et qui sera élu en 1948, président de l'État d'Israël ! Cette lettre fait suite à une victoire britannique contre l'Empire Ottoman qui devait être démantelé en territoires, dont la Palestine. Elle stipule que le gouvernement Anglais est favorable à "un foyer national pour le peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif".
Mais c'est le plan de partage voté par l'ONU qui fut décisif. L'ONU fut établi au lendemain de la seconde guerre mondiale ayant pour objectif la paix internationale. Cette Organisation est financée par les différents Etats qui y sont représentés mais on peut noter que cette Organisation est largement favorisé par des hommes n'interférant pas officiellement dans les affaires du gouvernement. Le siège de l'ONU est une donation de John Davison Rockefeller Jr.
Il est d'ailleurs assez drôle de remarquer que la construction du musée Rockfeller, en Israël, fut un don du même personnage.
On peut remarquer la fulgurante asencion du territoire Israëlien, de l'origine des Kibouts jusqu'à nos jours :
Israël, un état dont la création peut sembler logique, même si pas forcément légitimement acquis, mais dont la fulgurante prise de terrain sur le territoire palestinien est réellement contraire à l'éthique. Je ne vais pas m'éterniser sur le fait que le blocus de Gaza est criminel, à mes yeux il l'est, aux yeux de certains c'est complètement faux. Des sources disent que c'est faux, d'autres que c'est vrai, en général les rares images que l'on peut voir suffisent à lever le doute, mais la presse internationale est muselée et on verra plus tard qu'on peut vite comprendre pourquoi.
Par contre, on m'accordera un deux points deux mesures, dans le fait qu'Israël bénéficie d'une reconnaissance d'Etat ainsi que d'un soutien financier et militaire Américain, et même Britannique au début du sionisme comme on l'a vu avec Balfour.
Comme le stipule si bien monsieur Obama dans ses discours propagandistes, Israël peut compter sur son allié Américain :
Vous avez pu constater le logo de l'AIPAC dans son discours. L'AIPAC est un lobby puissant pesant plusieurs millions de dollars aux USA, financé par des dons privés (et on voit qu'apparement les fonds privés ne manqueront pas avec le soutien apparent des Rothschilds et des Rockfellers) et dont l'objectif est de faire pression (comme tout lobby) sur le gouvernement américain pour avantager les relations Israëlienne et ce dont elles peuvent tirer partie.
Un lobby est donc contraire au libre arbitre d'un gouvernement, et propice au soudoiement de membres politiques américains, pourtant celui-ci arrive quand même à avoir Obama en soutien, le clamant d'ailleurs ouvertement et en publique !
D'ailleurs Obama a renoncé, lors de sa campagne présidentielle, de se financer par la voie habituelle des fonds publics, échappant ainsi à la limite des dépenses de sa campagne de 84 millions de dollars, mais tournant ça à son avantage en faisant mine de ne pas vouloir appauvrir le contribuable. On peut donc logiquement estimer que sa campagne a dépassé les 84 millions de dollars, dont le fond aurait eu intérêt à être renfloué par l'AIPAC au vu des discours qu'il tient. On voit donc vite l'effet pervers du vol démocratique possible par les lobbys, pourtant pas si compliqué à comprendre.
Ne croyez pas que Monsieur Obama est le seul dans le monde à plier du genou devant l'Etat Hébreu, puisque chaque année le CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) organise des dîners qui poussent des sénateurs, des ambassadeurs, des ministres (allant de Martina Aubry à François Fillon) et le président de la république en personne à venir dans un festin traditionnel. Le président y tient d'ailleurs bien souvent un long discours, mémorant les heures mémorables de la souffrance des juifs lors de la Shoah.
Le fait que je parle de Sarkozy et Obama n'est pas un hasard, en effet, la news qui aurait dû faire l'effet d'une bombe dans la presse française n'a eu que de vulgaires petits echos qui ont d'ailleurs fait du bruit seulement quatre jours après les faits ! Cette news que vous avez peut-être manqué nous fait part d'une discussion entre Obama et Sarkozy lors du G20, quand ces derniers pensaient encore que leur micro était coupé. Ainsi, l'ensemble des journalistes a pu témoigner d'un dialogue entre Obama et Sarkozy au sujet de Netanyahou (premier ministre Israëlien) qui, "sûrs de ne pas être entendus, les deux présidents se sont lâchés. "Je ne peux plus le voir, c'est un menteur", a lancé Sarkozy. "Tu en as marre de lui, mais moi, je dois traiter avec lui tous les jours !", a rétorqué Obama, qui a ensuite demandé à Sarkozy d'essayer de convaincre les Palestiniens de mettre la pédale douce sur leur demande d'adhésion à l'ONU" (Source : ICI et ICI en vidéo).
Le fait que la news n'ait pas fait plus de bruit est suspicieux, et que celle-ci ait mis quatre jours à sortir du panier également, alors qu'un "casse-toi pauvre con" aurait fait le tour de toutes les presses.
Obama montre dans son discours une certaine soumission au premier ministre Israëlien, en tous cas il semble subir de sa relation, et Sarkozy nous dit que c'est un menteur, même si dans la bouche d'un autre menteur ça sonne assez ironique.
Les différentes organisations soutenant, de prêt ou de loin Israël, sont assez influentes pour que Sarkozy compare le judaïsme aux valeurs chrétiennes de la France (cf la vidéo de Sarkozy déjà mise avant), valeurs chrétiennes qui étaient pourtant omniprésentes depuis l'empire Gallo-Romain jusqu'à nos jours (bien qu'en perdition, surtout depuis 1789), alors que le judaïsme fut une minorité n'interférant pas réellement dans l'opinion publique.
Mais l'allégance au judaïsme ne s'arrête pas là au diner du Crif puisque cette année Claude Guéant a dit explicitement qu'il prendrait en compte les fêtes juives dans les administrations et les services publics (voir la vidéo ici) !
Une offense au principe de laïcité que je trouve d'ailleurs pas forcément exemplaire mais qui l'est apparement quand il s'agit d'Islam au vu des différentes polémiques créées de toutes pièces et dont le fin mot est toujours le mot "laïcité".
Vous ne croyez toujours pas à une certaine infiltration et influence sioniste dans les institutions politiques mondiales après ça ?
Peut-être que ça vous en persuadera, devinez où a été célébré le nouvel an juif cette année ?
Rien qu'au parlement européen de Strasbourg !
Imaginez fêter le nouvel an musulman en ce même lieu et c'est le scandale médiatique, alors que là, très peu de medias ont relayé l'info, pourtant le symbole fut fort puisque Jerzy Buzek, président du parlement européen (rien que ça), a soufflé dans la symbolique et coutumière corne appellée chofar :
Vous pouvez voir la vidéo ici au cas où vous croyez peut-être à un photo montage.
Le parlement européen, lieu de débats entre différents députés européens, donnant lieu à des directives de tout bord. Quel est le lien avec le nouvel an juif ? On m'aurait caché qu'Israël est dans l'UE ?!
Après tout ça, j'espère au moins vous avoir fait douter, et je pense encore avoir de quoi vous convaincre de cette puissance sioniste. Un cas représentatif de cette caste politique est le cas BHL.
BHL aka Bernard Henry Levy, est parait-il, un philosophe, écrivain, scénariste et bien d'autres fonctions. Cet homme, ayant démontré à maintes reprises le vide émanant de son esprit, faisant plusieurs fois des gaffes (comme le cas botul), est un inconditionnel d'Israël. Il a montré sa ferveur à l'Etat Hébreu sur le plan de l'écriture, à l'oral, mais plus récement ... sur le plan politique ! Nous avons donc là affaire à un philosophe qui se mélange au politique pour servir les intérêts commun des sionistes, quand est-ce que les maçons se mettront à jouer le rôle de sage femme ?
Mais cela ne choque personne, au contraire, la cause parait tellement noble qu'elle semble ne pouvoir qu'être encouragée. On donne de l'importance sentimental pour donner crédit à une orientation politique dont les agissements sont hors la loi. En effet le mandat de 1973 de l'ONU stipule :
"Autorise les États Membres qui ont adressé au Secrétaire général une notification à cet effet et agissent à titre national ou dans le cadre d'organismes ou d'arrangements régionaux et en coopération avec le Secrétaire général, à prendre toutes mesures nécessaires, nonobstant le paragraphe 9 de la résolution 1970 (2011), pour protéger les populations et les zones civiles menacées d'attaque en Jamahiriya arabe libyenne, y compris Benghazi, tout en excluant le déploiement d'une force d'occupation étrangère sous quelque forme que ce soit et sur n'importe quelle partie du territoire libyen [...]
Zone d'exclusion aérienne
6. Décide d'interdire tous vols dans l'espace aérien de la Jamahiriya arabe libyenne afin d'aider à protéger les civils;"
Source ici
Alors que les raids de l'OTAN, encouragés par BHL qui d'ailleurs veut se poser en tant qu'acteur décisif de cette soit-disante justice, ne sont plus à démontrés (J'met quand même des sources pour ceux qui auraient oublier, ici et ici).
Ce dernier, homme de liberté, inspire d'ailleurs l'ironie quand il encourage les musulmans à avoir l'équivalent du talmud comme le montre cette vidéo :
En effet, les juifs n'ont pas de radicalistes c'est bien connu, j'crois que cet article le montre d'ailleurs non ? Et oui BHL, l'ironie n'est pas réservée au peuple élu, mais aussi aux goyims comme moi. Vous noterez que cet acte quasi propagandiste se fait sur france 5, chaîne ayant collaboré avec Arte, Arte dont le président du Conseil de surveillance n'est personne d'autre que BHL lui-même.
Je ne ferai pas le débat typique du talmud qui tendrait à être haineux envers les non-juifs, vous trouverez facilement de quoi vous en gargariser sur le net et de vous amuser à démêler le vrai du faux, moi je ne veux pas m'enfoncer là-dedans, ne maitrisant pas entièrement le sujet.
Pour en finir avec BHL, ne loupez pas la petite quenelle d'Alain Soral au sujet de sa gracieuse femme (Arielle Dombasle) qui a fait ses débuts dans un film érotique, à voir ici.
On a vu avant que les juifs ont potentiellement infiltré les hauts grades de la finance et donc d'autres rôles qui peuvent être encouragé par la finance (on peut aisément soupçonner que la presse soit dirigée par des juifs pour ne pas dévoiler cette main mise sioniste et soutenir la propagande Israëlienne dans les journaux).
Plutôt que de spéculer sur l'éxistence ou non de cette potentielle caste juive cherchons les faits. Le tout est de voir sur quelles têtes pourrait on porter le doute.
La Réserve Fédérale, la banque centrale ayant l'exclusivité sur le dollar américain et contrôlant ainsi le système monétaire américain, fut créé par un groupe d'homme dont Paul Warburg, banquier juif originaire d'Allemagne, se distinguait de part ses compétences. Et comme le disait le fondateur de la dynastie Rothschild : "Donnez-moi le droit d'émettre et de contrôler l’argent d’une nation, et alors peu m’importe qui fait ses lois."
Les actions de la banque de Réserve fédérale de New York, la banque la plus importante et influente des douze banques régionales constituant la Réserve Fédérale sont constitués d'actifs dont les Rothschilds (juifs) ont pris possession, mais aussi la Kuhn, Loeb & Co, banque fondée par Jacob Schiff (juif originaire d'Allemagne et ayant travaillé avec les Rothschilds) et repris généralement par des juifs dont Felix Warburg, frère de Paul Warburg, mais aussi Warburg Compagny (appartenant à cette même famille Warburg), Lehman Brothers qui fut fondée par deux frères juifs allemands (d'où le nom de la banque) et qui fusionna ensuite avec la Kuhn, Loeb & Co ; mais encore la Lazard Frères, fondée par juifs ashkénazes émigrants aux Etat-Unis et dont l'achat d'actions de la fed a été fait par Eugene Meyer à cette époque, également juif. La Goldman Sachs fut également détentrices d'actions, Goldman Sachs qui fut fondée par Marcus Goldman et Samuel Sachs, tous deux juifs originaires d'allemagne (on voit que dans le lot venant d'être cité, beaucoup de ces juifs viennent d'Allemagne, remarque intéressante d'un point de vue historique à mon goût).
Goldman Sachs, sûrement la plus grosse banque du monde à ce jour (du moins officiellement), est toujours dirigée par un juif, Lloyd Blankfein qui déclara d'ailleurs "Je ne suis qu'un banquier qui fait le travail de Dieu".
Intéressant de noter aussi que généralement les successeurs de ces grosses banques dirigées par des juifs sont bien souvent succédés par d'autres juifs.
Les actionnaires de cette banque de Réserve fédérale ne s'arrêtent pas là, ils sont environ une quinzaine, vous noterez donc que les juifs, pourtant loin d'être prédisposé à se trouver dans les affaires américaines, sont largement représentés, il faut donc dire que ce favoritisme juif pour le secteur banquaire n'est pas une légende. Ben Bernanke, actuel président de cette Réserve Fédérale des Etats-Unis est d'ailleurs lui aussi juif, et c'est un homme beaucoup plus puissant qu'Obama qui lui n'est qu'un homme tiré par des ficelles.
Il est difficile pour moi de montrer le pourcentage de juifs à des rôles importants, premièrement car c'est un peu généralisant, c'est sûr qu'en cherchant on trouve, et qu'il nous faut une base (c'est pourquoi la création de la Fed me paraissait intéressante).
Pour se faire, je vais prendre la presse généraliste hebdomadaire française dont les plus connus sont :
- Le Point
- Le Figaro
- Marianne
- Le Nouvel Observateur
- L'Express
Je vais maintenant montrer à qui appartient cette presse.
Le Point appartient à Artemis, une société appartenant à la famille Pinault. Aucune influence ou appartenance juive n'est apparente au sujet de cette famille à ma connaissance.
Le Figaro est une filiale de la Socpresse, dirigé par Serge Dassault, qui n'est ni plus ni moins qu'un traffiquant d'Armes à l'échelle internationale. On apprend sur sa page Wikipedia que la famille de ce dernier avait le nom de Bloch et était une famille juive, qui a changé de nom pour s'appeller Dassault.
Marianne, le journal sûrement le plus incisif. Il m'est arrivé de lire un article sur le conflit Israelo-palestinien et j'ai été surpris du manque d'objectivité, l'article donnant quasiment une légitimité à Israël (bien que tous les articles ne suivent pas cette directive). Marianne appartient à Jean-François Kahn et Maurice Szafran qui sont également les fondateurs, ils sont tous les deux juifs.
Le Nouvel obs appartient au groupe Perdriel, dont le propriétaire est Claude Perdriel. Claude Perdriel n'est pas juif, cependant il s'associe plus jeune avec Edmond de Rothschild dans une société immobilière. Il est d'ailleurs intéressant de savoir que Laurent Jauffrin fut directeur du Nouvel Obs et de Libération, Libération appartenant à ... Edouard de Rothschild. On ressent bien là l'odeur d'un petit cercle d'amis ...
L'Express fut fondé par deux personnes issues de familles prussiennes (donc allemandes) juives, Jean-Jacques Servan-Schreiber (dont le père créa aussi le journal Les Echos en passant) et Françoise Giroud. L'Express est maintenant dirigé par Cristophe Barbier, juif.
La population juive ne représente que 3 % de la population française, je ne serais pas généraliste si je disais qu'il y a beaucoup de juifs qui sont à la tête des médias français en comparaison à ce pourcentage. Je ne montre pas par ce biais qu'il s'y cache des intérêts sionistes, cependant je pense avoir démontré qu'il y a une certaine influence Israëlienne anti-démocratique dans le monde, il est donc logique de penser que ces hommes, à la tête de la presse française, en font partie.
La France est un pays ayant des racines historiques longues, aux Etats-Unis, on peut se demander si son historique plus récent de l'émergence financier que ce pays à subit ne serait pas plus sujet encore que la France à une domination sioniste médiatique.
On a vu le pouvoir de l'AIPAC sur le président américain en personne, mais est-ce que dans les médias, la télé, le cinéma et autres influence d'opinion potentielle la partie émergée du sionisme ne serait pas plus visible ?
Je vous laisse constater par vous même par le biais de ce site (CLIQUEZ ICI) très bien fait, vous n'aurez qu'à vous faire une idée en comptant le nombre de "Ashkenazi jew" (Juif Askénaze) à la tête de ces institutions, allant de la presse, à la radio en passant par le département de la justice. A ne pas manquer !
Pour conclure cet article, je vous ferai remarquer que la persécution juive lors de la deuxième guerre mondiale nous est rappellée constament. Dans cet article j'ai montré que des juifs influents ont naturellement pu prendre possession de la finance (particulièrement en Allemagne, Angleterre et Etats-Unis). De part son pouvoir, la finance a pu également infiltré des organisations dans le domaine de l'industries (par exemple, il éxiste un véritable lien entre les banques et les compagnies pétrolières) mais aussi de la presse et de la politique.
J'ai donc émis l'hypothèse que les juifs étaient représentées en grand nombre dans les différentes organisations et que des faits profitants aux juifs ont pu être établi, je pense avoir démontré ces deux points. Cet article n'avait pas pour but d'énumérer les juifs, mais il fallait en passer par là pour dénoncer un potentiel sioniste.
Ce à quoi, je précise également que le titre de cet article "Des juifs dirigent-t-ils le monde ?" n'est pas pour autant mensonger, le sionisme étant malheureusement issue du judaïsme. Il ne fait donc pas l'amalgame entre juif et sioniste, et poussent même le lecteur pouvant être introverti dans ses idées reçues sur les juifs à prendre conscience de l'élitisme de la puissance sioniste représentant la symbolique juive actuelle à l'échelle mondiale.
Divers exemples montrent encore des pressions pour faire ressortir la victimisation juive de façon consciente ou non, l'affaire du RER D est un fait révélateur (vous pouvez découvrir l'histoire en chanson ici si vous aimez). On connait également beaucoup Guilad Shalit, beaucoup moins Salah Hamouri. On peut noter également le cas Dieudonné qui s'est fait boycotter un peu partout à la suite d'un sketch sur un colon Israëlien. On a vu par là un acharnement médiatique sur une personne qui n'était plus qu'une entité imaginaire puisque quasiment interdit d'Antenne (seul Taddei l'a invité). Sa ligne directrice et politique est maintenant basé sur l'antisionisme dont son expérience personnelle suffit à prouver l'existence de la force sioniste. Le sionisme est d'ailleurs dénoncé par quelques juifs, même des rabins sont antisionistes (exemple ici). On a également reçu les récentes excuses de la SNCF pour la déportation des juifs. La liste de faits ne s'arrête pas là, en se penchant sur le cas d'Alain Soral, rejoignant par là Dieudonné dans son combat, on remarquera que tous les deux ont été aggressé (indépendament) par le BETAR (mouvement se revendiquant sioniste).
Il y a eu aussi la récente polémique sur la fonction apple "juif ou pas juif" dont Mozinor a répondu de manière astucieuse je trouve :